Il va vendre tout ce qu’il possède, et il achète ce champ
Pour s’unir, il faut s’aimer. Pour s’aimer il faut se connaître. Pour se connaître, il faut aller à la rencontre l’un de l’autre.
Cardinal Mercier
Saint Chély (Hilaire de Mende)
évêque (✝ 540)
ou Illier, évêque de Mende.
Il eut à lutter contre des fanatiques païens et contre les soldats francs qui s'avançaient dans le Gévaudan. De tous, il sut défendre ses fidèles et nous savons, par sa présence au concile de Bourges, qu'il fut un artisan de paix et de réconciliation. Des villes de la Lozère et de l'Aveyron portent ce nom.
"S. Hilaire a été en relations suivies avec le célèbre monastère de Lérins. Il aurait fait une fondation monastique non loin de Mende, le monastère de St. Privat peut-être? Son zèle apostolique s'exerça surtout dans la vallée du Tarn, où il aurait fait également une fondation monastique. Il fut assiégé au 'Castrum' de la Malène par les troupes du roi d'Austrasie.
S. Hilaire participe au Concile de Clermont en 535 et signe les décrets de morale et de discipline intérieure...
Le nom de S. Hilaire, en raison de la langue occitane a été transformé en Chély, en certains endroits du Gévaudan; les vocables St Chély, équivaudraient à St. Hilaire d'après les étymologistes. Plusieurs de paroisses l'ont comme patron: la Parade, St Chély d'Apcher, St. Chély du Tarn, St. Hilaire de Lavit... Son culte a toujours été florissant dans la vallée du Tarn. Une chapelle lui est dédiée dans le cirque des Baumes où il est l'objet d'un pèlerinage."
(les saints du diocèse de Mende, document pdf)
Les habitants du village invoquaient gentiment Saint Hilaire sous le diminutif 'Ily'. Et comme tous les habitants parlaient le patois, ils disaient dans leur prière 'Sanch Ily, priez pour nous'. Est né ainsi le nom de 'Saint Chély'. (ville de Saint-Chély-d'Apcher)
Sur le territoire des Gabales, après 535, saint Hilaire, évêque de Mende.
Être heureux, c’est trouver la force dans le pardon …
Tu peux avoir des défauts, être anxieux et parfois irrité, mais n’oublies pas que ta vie est la plus grande société dans le monde et toi seul peux en empêcher le déclin. Beaucoup de gens t’apprécient, t’admirent et t’aiment. J’aimerais que tu te rappelles qu’être heureux ce n’est pas avoir un ciel sans tempête, une route sans accident de la circulation, un travail sans fatigue, des relations sans désillusions.
Être heureux c’est trouver
la force dans le pardon,
l’espoir dans les batailles,
la sécurité sur la scène de la peur,
l’amour dans les désaccords.
Être heureux
ce n’est pas seulement apprécier le sourire,
mais aussi réfléchir sur la tristesse.
Ce n’est pas seulement célébrer la réussite,
mais apprendre les leçons des échecs.
Ce n’est pas seulement se sentir heureux avec des applaudissements,
mais être heureux dans l’anonymat.
Être heureux c’est reconnaître que la vie vaut d’être vécue, malgré tous les défis, les malentendus et les périodes de crise.
Être heureux n’est pas une fatalité du destin mais une victoire pour ceux qui sont capables de voyager dans leur être.
Être heureux c’est cesser de se sentir victime des problèmes et devenir un acteur de sa propre histoire.
C’est traverser les déserts en dehors de soi, mais être capable de trouver une oasis dans les recoins de notre âme.
C’est remercier Dieu chaque matin pour le miracle de la vie.
Être heureux ce n’est pas avoir peur de ses sentiments.
C’est savoir parler de soi.
C’est avoir le courage d’entendre un «non».
C’est se sentir confiant de recevoir une critique, bien qu’injuste.
C’est embrasser les enfants, choyer les parents, vivre des moments poétiques avec des amis, même s’ils nous blessent.
Être heureux c’est laisser vivre la créature qui vit en chacun de nous, libre, joyeuse et simple.
C’est avoir la maturité nécessaire pour dire : « je me suis trompé ».
C’est avoir le courage de dire : « Pardonne-moi».
C’est avoir la sensibilité pour dire : «J’ai besoin de toi »
C’est avoir la capacité de dire : « Je t’aime »
Que ta vie devienne un jardin d’occasions d’être heureux …
Que dans tes printemps tu sois ami de la joie.
Que dans tes hivers tu sois ami de la sagesse.
Et que quand tu te trompes de route, tu recommences à zéro.
Comme ça tu seras plus passionné par la vie.
Et tu découvriras qu’être heureux ce n’est pas avoir une vie parfaite.
Mais user les larmes pour irriguer la tolérance.
Utiliser les pertes pour aiguiser la patience.
Utiliser les erreurs pour sculpter la sérénité.
Utiliser les obstacles pour ouvrir les fenêtres de l’intelligence.
Ne jamais se rendre.
Ne jamais renoncer ; donner à ceux que tu aimes.
Ne jamais renoncer au bonheur, car la vie est un spectacle incroyable ! » ……..
Pape François