Paroisse ND de Recouvrance

les etapes de la vie

L'Onction des Malades

Rédigé par Paroisse Publié dans #Les sacrements, #Les étapes de la vie

Les sacrements dits de guérison :

Réconciliation et onction des malades : ils apportent soutien et réconfort dans les épreuves.

L’Onction des malades : Dieu nous soutient dans la maladie.

Parole du sacrement : « Par cette onction sainte, que le Seigneur, en sa grande bonté, vous réconforte par la grâce de l'Esprit Saint. »

Le sacrement de l’Onction des malades « nous permet de toucher du doigt la compassion de Dieu pour l’homme. », annonce le Pape François.

le sacrement des malades est donné à toute étape de la vie, c’est le signe de la compassion et du soutien de Dieu dans notre faiblesse et dans nos fragilités

Presbytère de PONS

du mercredi au samedi matin de 9h30 à 12h 
(église saint Martin – entrée par la chapelle saint Joseph)
 : 05-46-94-00-74
: paroisse.pons.ndr@gmail.com
 Presbytère 1, petite place saint Martin 17800 PONS
L'Onction des MaladesL'Onction des Malades

Séparateur Catéchèse du pape François

Chers frères et sœurs, bonjour.

Aujourd’hui je voudrais vous parler du sacrement de l’Onction des malades, qui nous permet de toucher du doigt la compassion de Dieu pour l’homme. Autrefois on l’appelait « extrême onction », car il était perçu comme un réconfort spirituel au moment de la mort.

Or parler d’« Onction des malades » nous aide à voir plus loin, à inscrire l’expérience de la maladie et de la souffrance sur l’horizon de la miséricorde de Dieu...

Aujourd’hui encore, chaque fois que l’on célèbre ce Sacrement, Jésus, en la personne du prêtre, se fait proche de celui qui souffre, de celui qui est âgé ou gravement malade. Ainsi, au moment de l’épreuve ou de la maladie, nous ne sommes pas seuls. Toute la communauté est présente par la prière fraternelle, Jésus lui-même nous prend par la main et nous rappelle que rien ne peut nous séparer de lui.

1. Il y a une icône biblique qui exprime dans toute sa profondeur le mystère qui transparaît dans l’Onction des malades : c’est la parabole du « Bon Samaritain » dans l’Evangile de Luc (10,30-35). A chaque fois que nous célébrons ce sacrement, le Seigneur Jésus, dans la personne du prêtre, se fait proche de celui qui souffre, est gravement malade ou âgé. La parole dut que le Bon Samaritain prend soin de l’homme souffrant en versant sur ses blessures de l’huile et du vin. L’huile nous fait penser à ce qui est béni par l’évêque chaque année, à la Messe chrismale du Jeudi Saint, en vue précisément de l’Onction des malades. Le vin, lui, est signe de l’amour et de la grâce du Christ qui jaillissent du don de sa vie pour nous et s’expriment dans toute leur richesse dans la vie sacramentelle de l’Eglise. Enfin, la personne souffrante est confiée à un aubergiste, afin qu’il puisse continuer à prendre soin d’elle, quoi qu’il lui en coûte. Maintenant, qui est cet aubergiste ? C’est l’Eglise, la communauté chrétienne, c’est nous, à qui chaque jour le Seigneur Jésus confie ceux qui sont affligés, dans leur corps ou leur esprit, pour que nous continuions à reverser sur lui, sans compter, toute sa miséricorde et son salut.

2. Cette mission est réaffirmée de manière explicite et précise dans la lettre de Jacques, dans laquelle celui-ci recommande : « L’un de vous est malade ? Qu’il appelle les Anciens en fonction dans l’Église : ils prieront sur lui après lui avoir fait une onction d’huile au nom du Seigneur. Cette prière inspirée par la foi sauvera le malade : le Seigneur le relèvera et, s’il a commis des péchés, il recevra le pardon. » (5,14-15). C’est donc une pratique qui existait déjà au temps des apôtres. Jésus a en effet enseigné à ses disciples à avoir la même prédilection pour les malades et pour les souffrants et il leur a transmis la capacité et le devoir de continuer à étendre, en son nom et selon son cœur, ce réconfort et cette paix, à travers la grâce spéciale d’un tel sacrement. Mais ceci ne saurait nous faire tomber dans la recherche obsessionnelle du miracle ou dans la présomption de pouvoir obtenir toujours et de toute façon la guérison. Ce sacrement est une garantie que Jésus est proche du malade mais aussi de la personne âgée, car chaque personne âgée, chaque personne de plus de 65 ans, peut recevoir ce sacrement, grâce auquel Jésus lui-même s’approche de nous.

3. Quand quelqu’un est malade, on se dit parfois : « appelons le prêtre pour qu’il vienne ». « Non, cela va porter malheur, ne l’appelons pas », ou alors : « le malade va prendre peur ». Pourquoi pensons-nous cela ? Parce qu’il y a un peu cette idée qu’après le prêtre les pompes funèbres arrivent. Et cela n’est pas vrai. Le prêtre vient pour aider le malade ou la personne âgée, c’est pourquoi la visite des prêtres aux malades est si importante. Il faut appeler le prêtre, le faire venir près du malade et lui dire : « venez, donnez-lui l’onction, bénissez-le ». C’est Jésus en personne qui arrive pour soulager le malade, pour lui donner des forces, pour lui donner l’espérance, pour l’aider ; et pour lui pardonner aussi ses péchés. Et c’est très beau ! Et il ne faut pas penser que c’est un tabou, car il est toujours beau de savoir qu’au moment de la douleur et de la maladie nous ne sommes pas seuls : le prêtre et ceux qui sont présents lors de l’Onction des malades représentent en effet toute la communauté chrétienne qui, comme un seul corps, se rassemble autour de celui qui souffre et autour de ses proches, alimentant en eux la foi et l’espérance, et les soutenant par la prière et la chaleur fraternelle. Mais le réconfort le plus grand vient du fait que c’est le Seigneur Jésus lui-même qui se rend visible dans le sacrement, qui nous prend par la main, nous caresse comme il le faisait avec les malades et nous rappelle que désormais nous lui appartenons et que rien – ni même le mal et la mort – ne pourra jamais nous séparer de Lui. Avons-nous cette habitude d’appeler le prêtre, de le faire venir pour qu’il donne à nos malades – je ne dis pas aux malades qui ont la grippe, pendant trois ou quatre jours, mais quand il y a une maladie sérieuse – mais aussi à nos personnes âgées, ce sacrement, ce réconfort cette force de Jésus pour continuer à avancer ? Faisons-le !

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Les 7 sacrements : étapes de la vie

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Le sacrement du Mariage

Rédigé par Paroisse Publié dans #Les sacrements, #Les étapes de la vie

Les sacrements dits au service de la mission des chrétiens :

Le Sacrement de mariage et le sacrement de l’ordre (diacre, prêtre et évêque) : ils expriment une vocation et répondent à un appel.

Mariage : un homme et une femme s’engagent devant Dieu et la communauté chrétienne pour toute la vie.

Parole du sacrement : "Je te reçois comme épouse (époux) et je me donne à toi" 

Le mariage, c'est l'engagement de Dieu dans l’union des époux. Ce sacrement est célébré publiquement par l’échange des consentements.

La célébration se fait devant l’assemblée, les témoins, le prêtre ou le diacre qui appelle la bénédiction de Dieu sur les époux et leur foyer.

Les fiancés sont invités à s’y préparer par des journées d’accompagnement proposées dans le diocèse.

Pour vous marier à l’église dans la paroisse ND de Recouvrance-Pons

Nous vous recommandons de prendre contact au moins un an avant la date choisie.

Le Catéchisme

Sur la paroisse

Responsables : Mr et Mme Maxime Moufflet

 

Presbytère de PONS

du mardi au samedi matin de 9h30 à 12h 
(église saint Martin – entrée par la chapelle saint Joseph)
 : 05-46-94-00-74
: paroisse.pons.ndr@gmail.com
 Presbytère 1, petite place saint Martin 17800 PONS

Le Catéchisme

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Les 7 sacrements : étapes de la vie

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Le sacrement de l'Ordre

Rédigé par Paroisse Publié dans #Les sacrements, #Les étapes de la vie

Les sacrements dits au service de la mission des chrétiens :

Le Sacrement de mariage et le sacrement de l’ordre (diacre, prêtre et évêque) : ils expriment une vocation et répondent à un appel.

Ordre : les ministres ordonnés s’engagent au service de leurs frères pour leur dire Jésus-Christ ressuscite, ils s’engagent aussi pour toute leur vie.

Par le Baptême, tous les fidèles participent à la mission du Christ, Prêtre, Prophète et Roi. Dans cette communion et cette mission du baptisé, il existe une autre participation à la mission du Christ : servir au nom et en la personne du Christ au milieu de la communauté. Ce service comporte trois missions essentielles : l’enseignement, la sanctification et le gouvernement du Peuple de Dieu.

Evêques, prêtres et diacres le deviennent en recevant le Sacrement de l’Ordre.

 

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Votre curé : Père Philippe Teulé

Installé curé de la Paroisse de Pons  le dimanche 07/10/2018

 

Can. 519 – Le curé est le pasteur propre de la paroisse qui lui est remise en exerçant, sous l’autorité de l’Évêque diocésain dont il a été appelé à partager le ministère du Christ, la charge pastorale de la communauté qui lui est confiée, afin d’accomplir pour cette communauté les fonctions d’enseigner, de sanctifier et de gouverner avec la collaboration éventuelle d’autres prêtres ou de diacres, et avec l’aide apportée par des laïcs, selon le droit.

 

Année de naissance : 1970

Année d’ordination : ordonné prêtre le 07 octobre 2012 en la cathédrale de LA ROCHELLE.

Année de nomination : 2018

2012 – 2014, vicaire des paroisses de Rochefort sur Mer et Saint Agnant

2014 – 2018, vicaire des paroisses de Pons et de Gémozac

2018 – Curé des paroisses de Pons et de Gémozac

2020 – curé de la paroisse ND de Recouvrance-Pons

 Album photos de l'Ordination 

 

Témoignage de sacerdoce de l'abbé Philippe Teulé

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Catéchèse du pape François sur l'Ordre

Chers frères et sœurs, bonjour !

Nous avons déjà eu l’occasion d’observer que les trois sacrements du baptême, de la confirmation et de l’eucharistie constituent ensemble le mystère de l’ « initiation chrétienne », un unique grand événement de grâce qui nous régénère dans le Christ.

C’est là la vocation fondamentale qui nous est commune à tous, dans l’Église, en tant que disciples du Seigneur Jésus. Il y a ensuite deux sacrements qui correspondent à deux vocations spécifiques : il s’agit de l’ordre et du mariage. Ils constituent deux grandes voies à travers lesquelles le chrétien peut faire de sa vie un don d’amour, à l’exemple et au nom du Christ, et ainsi coopérer à l’édification de l’Église.

L’ordre, qui se déploie dans les trois degrés de l’épiscopat, du presbytérat et du diaconat, est le sacrement qui habilite à l’exercice du ministère, confié par le Seigneur Jésus à ses apôtres, de paître son troupeau, dans la puissance de son Esprit et selon son cœur. Paître le troupeau de Jésus, non pas avec la puissance de la force humaine ou avec sa propre puissance, mais avec celle de l’Esprit et selon son cœur, le cœur de Jésus qui est un cœur d’amour. Le prêtre, l’évêque, le diacre doit paître le troupeau du Seigneur avec amour. S’il ne le fait pas par amour, il ne sert pas. Et dans ce sens, les ministres qui sont choisis et consacrés pour ce service prolongent dans le temps la présence de Jésus, s’ils le font avec le pouvoir de l’Esprit-Saint, au nom de Dieu et par amour.

1. Un premier aspect. Ceux qui sont ordonnés sont mis à la tête de la communauté. Ils sont  « à la tête », oui, mais cela signifie, pour Jésus, mettre son autorité au service, comme il l’a montré lui-même et l’a enseigné à ses disciples par ces paroles : « Vous savez que les chefs des nations dominent sur elles en maîtres et que les grands leur font sentir leur pouvoir. Il n’en doit pas être ainsi parmi vous : au contraire, celui qui voudra devenir grand parmi vous, sera votre serviteur, et celui qui voudra être le premier d’entre vous, sera votre esclave. C’est ainsi que le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour une multitude » (Mt 20,25-28 ; Mc 10,42-45). Un évêque qui n’est pas au service de sa communauté ne fait pas de bien ; un prêtre qui n’est pas au service de sa communauté ne fait pas de bien, il se trompe.

2. Une autre caractéristique, qui découle toujours de cette union sacramentelle avec le Christ, est l’amour passionné pour l’Église. Pensons à ce passage de la Lettre aux Éphésiens dans laquelle saint Paul dit que le Christ « a aimé l’Église : il s’est livré pour elle, afin de la sanctifier en la purifiant par le bain d’eau qu’une parole accompagne ; car il voulait se la présenter à lui-même toute resplendissante, sans tache ni ride ni rien de tel, mais sainte et immaculée » (5,25-27). En vertu de l’ordre, le ministre se consacre tout entier à sa communauté et l’aime de tout son cœur : elle est sa famille. L’évêque, le prêtre, aiment l’Église dans leur propre communauté, ils l’aiment avec force. Comment ? Comme le Christ aime l’Église. Saint Paul dira la même chose du mariage : l’époux aime sa femme comme le Christ aime l’Église. C’est un grand mystère d’amour : celui du ministère sacerdotal, et celui du mariage, deux sacrements qui sont la voie par laquelle les personnes vont habituellement vers le Seigneur.

3. Un dernier aspect. L’apôtre Paul recommande à son disciple Timothée de ne pas négliger mais au contraire de raviver sans cesse le don qui est en lui, le don qui lui a été fait par l’imposition des mains (cf. 1 Tm 4,14; 2 Tm 1,6).) Lorsque le ministère, le ministère de l’évêque, le ministère du prêtre, n’est pas nourri par la prière, par l’écoute de la Parole de Dieu, par la célébration quotidienne de l’eucharistie et la fréquentation du sacrement de la pénitence, on finit inévitablement par perdre de vue le sens authentique de son service et la joie qui découle d’une profonde communion avec Jésus.

4. L’évêque qui ne prie pas, l’évêque qui n’écoute pas la Parole de Dieu, qui ne célèbre pas tous les jours, qui ne va pas se confesser régulièrement, et c’est la même chose pour le prêtre qui ne fait pas tout cela, à la longue, ils perdent l’union avec Jésus et deviennent d’une médiocrité qui ne fait pas de bien à l’Église. C’est pourquoi nous devons aider les évêques et les prêtres à prier, à écouter la Parole de Dieu qui est leur repas quotidien, à célébrer tous les jours l’eucharistie et à aller se confesser régulièrement. C’est très important parce cela concerne précisément la sanctification des évêques et des prêtres.

5. Je voudrais terminer par quelque chose qui me vient à l’esprit : mais comment doit-on faire pour devenir prêtre, où vend-on les accès au sacerdoce ? Non ! Cela ne se vend pas. C’est une initiative que prend le Seigneur. Le Seigneur appelle. Il appelle chacun de ceux qu’il veut voir devenir prêtres. Il y a peut-être ici quelques jeunes qui ont entendu dans leur cœur cet appel, le désir de devenir prêtre, le désir de servir les autres dans les choses qui viennent de Dieu, le désir d’être toute leur vie au service pour catéchiser, baptiser, pardonner, célébrer l’eucharistie, s’occuper des malades… et comme cela toute la vie. Si quelqu’un parmi vous a entendu cela dans son cœur, c’est Jésus qui l’y a mis. Prenez soin de cette invitation et priez pour qu’elle grandisse et porte du fruit dans toute l’Église.

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Les 7 sacrements : étapes de la vie

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Les Funérailles

Rédigé par Paroisse Publié dans #Temps de Prière, #Les étapes de la vie, #La paroisse

« Frères, nous ne voulons pas vous laisser dans l’ignorance au sujet de ceux qui se sont endormis dans la mort ; il ne faut pas que vous soyez abattus comme ceux qui n’ont pas d’espérance. » 

Frères, nous ne voulons pas vous laisser dans l’ignorance au sujet de ceux qui se sont endormis dans la mort ; il ne faut pas que vous soyez abattus comme les autres, qui n’ont pas d’espérance. Jésus, nous le croyons, est mort et ressuscité ; de même, nous le croyons aussi, ceux qui se sont endormis, Dieu, par Jésus, les emmènera avec lui. Car, sur la parole du Seigneur, nous vous déclarons ceci : nous les vivants, nous qui sommes encore là pour la venue du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui se sont endormis. Au signal donné par la voix de l’archange, et par la trompette divine, le Seigneur lui-même descendra du ciel, et ceux qui sont morts dans le Christ ressusciteront d’abord. Ensuite, nous les vivants, nous qui sommes encore là, nous serons emportés sur les nuées du ciel, en même temps qu’eux, à la rencontre du Seigneur. Ainsi, nous serons pour toujours avec le Seigneur. Réconfortez-vous donc les uns les autres avec ce que je viens de dire.

1ère lettre de saint Paul apôtre aux Thessaloniciens (4, 13-14)

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Sur la paroisse

Sur la paroisse, une équipe de bénévoles laïcs accompagne les familles en deuil. Ils préparent ensemble la célébration qui peut être conduite par un laïc ou par un prêtre.

Dans tous les cas, c'est toute la communauté chrétienne qui est touchée par le décès.

Par elle, c'est toute l'Église qui s'associe à la prière de la famille endeuillée et lui témoigne de l'espérance chrétienne en la Résurrection.

Les familles s'adressent d'abord aux Pompes Funèbres qui prennent en charge le lien avec la paroisse, les démarches auprès de l'administration et l'organisation matérielle des funérailles.

Elles sont ensuite contactées par la paroisse.

Presbytère de PONS

du mardi au samedi matin de 9h30 à 12h 
(église saint Martin – entrée par la chapelle saint Joseph)
 : 05-46-94-00-74
: paroisse.pons.ndr@gmail.com
 Presbytère 1, petite place saint Martin 17800 PONS

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Les obsèques n’étant pas un sacrement, les équipes de fidèles-laïcs envoyées en mission pourront, à la demande du Curé,  officier en cas d’indisponibilité.

La messe dite de huitaine est célébrée dans la quinzaine.

Deux autres messes sont prévues et fixées en convenance avec les familles le jour de la préparation des obsèques.

Des messes peuvent être demandées pour le repos de l’âme du défunt, à tout moment.

 

Nos équipes bénévoles se tiennent à votre disposition, à votre service, à votre écoute et prient pour vous. Merci de les respecter.

Ce sont les pompes funèbres qui réservent la cérémonie selon la disponibilité des prêtres, du diacre ou des fidèles-laïcs.

Une centrale téléphonique est tenue par des bénévoles (merci d’être respectueux avec eux) du mardi au samedi matin de 9h30 à 12h

Numéro d’appel unique :

05-46-94-00-74.

En cas d’absence, laissez un message.

L’Église n’est pas une entreprise ni une démocratie. Elle est la famille même du Christ avec ses divers charismes, dons et différences. Merci de respecter les personnes bénévoles qui s’engagent gratuitement dans l’Église du Christ.

Pour une meilleure organisation ainsi que pour la bonne tenue des registres paroissiaux, merci aux établissements funéraires de bien vouloir envoyer la fiche de réservation à :

paroisse.pons.ndr@gmail.com

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Obsèques : la mort concerne aussi les vivants

COFFIN CANDLE

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Choisir des textes pour les funérailles grâce au Lectionnaire par

« thèmes »

 

Des chants pour nos célébrations d’obsèques

 

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